Faite l'expérience du tourisme lent au Maroc
"Il ne se considérait pas comme un touriste, mais comme un voyageur. La différence tenait entre autres, au facteur temps, expliquait-il. Alors que le touriste se hâte, en général, de rentrer chez lui au bout de quelques semaines ou de quelques mois, le voyageur, toujours étranger à ses lieux de séjours successifs, se déplace lentement, sur des périodes de plusieurs années, d'une contrée de la terre à une autre."
(Paul Bowles, Un thé au Sahara)